Le rêve au paradis.

       Sur le chemin éternel du calendrier, la nuit avance lentement et les fantômes amoureux se réveillent pour annoncer les chansons des passionnés et les poèmes des aveugles. Dans ce chambre peint d'obscurité et parfumé de vin rouge,  je regarde la silhouette de ta timidité et l'envie de la déchirer. Tu habilles un pantalon juste, malicieux, les formes de tes cuisses remplissent le désir de mes yeux. Dans la partie supérieure seulement un soutien-gorge. Rien de plus. J'ai envie de plonger dans la nature de ton corps et embrasser le tendre goût de ta peau. J'enlève tes lunettes  et tu fais un sourire coquin en attendant que mes mains parcourent la route de la soie sur le profil de ta beauté de statue classique. Mes bras commandés par l'amour se ferment au tour de toi et ma bouche ouvre la tienne parlant le même code secret lequel n'a pas de mots mais des sentiments seulement. . J'enlève tes pantalons, tu enlève les miens. On est Adam et Eve et on est heureux parce que livres d'aimer et d'être nous mêmes. Et l'envie est tellement fort qu'on oublie tout au tour de nous et on se délivre a une tempête de feux passional et amour plein de rage et souffrance. Que s'en fout ceux qui veulent contrôler la liberté d'aimer, que s'en aillent ceux pour qui la passion est un cauchemar, que meurent ceux qui ne veulent rien savoir de la richesse d'un cœur rempli de bonheur. Moi je touche le centre de ton corps, tu joue avec l'épée de ma passion. Mon corps endurcit tandis qu'elle regarde l'intérieure de ta bouche. Et moi j'arrive au ciel transporté par la délicatesse de ta langue. Au même temps la mienne visite l'espace magique d'une femme, l'endroit secret du jardin fleuri et comme j'adore ca. Tu est près des étoiles et tu tiens tellement ma tête près de tes cuisses que je ne peux même pas respirer. Et pourtant comme j'aurai décédé heureux si ca serait le cas. Nos corps sont chauds, on souhaite aller plus loin et moi je te couche sur un lit des nuages, puisque le paradis est une bataille des plaisirs entre deux êtres que se regardent et se touchent sans arrêt. Moi je me rends devant une beauté pleine de splendeur et j'ai envie de faire comme Zeus, prenant la forme d'un cygne pour séduire sa passionnée Léda. Si tu savais lá courage que tu me donnes pour combattre l'ennui de cette vie si fastidieuse. Comme je me sens bien avec toi et comme je me sens complet quand je pense à toi. Mon fleur, ma déesse, mon vrai et seul cœur je me couche entre tes cuisses et je frappe avec mon épée l'entrée sacrée de ton corps jusqu'à que le rouge prends soins de ta souffrance et de notre plaisir. Ta voix devient une fenêtre au désir, on s'extasie dans une tempête pleine de lumière et où les échos des tonnerres arrivent jusqu'aux confins de l'univers. Moi alimenté par l'énergie de ton sourire, je te pénètre à coups des reins, en force et en délicatesse. On transpire, on s'aime, on se délivre sur un feu des passions et à la fin le lait de mon épée éteindre ce feu et porte la vie dans ton ventre. La tempête est fini, le paradis est fermé, on retourne sur terre mais on souris comme des enfants parce que la joie est inoubliable et l'amour inépuisable. Le jour se réveil, il fait beau mais moi je suis triste. Je regarde a mon côté et je me vois seul. Alors je comprend que ce n'était qu'un rêve. Un si beau triste rêve. Enfin je retourne à l'ennui de ma vie et je pense toujours a toi.